DE Wie wäre es mit einem Gemüsegarten, mitten in der Stadt, zum Beispiel auf dem freien Gelände des Kraftwerkes Mitte?
FR Et si un potager voyait le jour au beau milieu de la ville, par exemple sur le terrain abandonné de l’ancienne centrale électrique de Mitte ?
DE Gibt es noch Spuren der DDR im Dresdner städtischen Raum? Verloren gegangene Zeugen einer anderen Zeit… inmitten des heutigen städtischen Umfelds.
FR Qu’en est-il des traces de la RDA dans le paysage architectural de Dresde ? Des témoins perdus d’un autre temps, au sein de l’environnement urbain d’aujourd’hui.
DE Was befand sich früher, an der heutigen Stelle des „Nudelturmes“ am Albertplatz? Die Archive der Stadt Dresden liefern Schwarz-Weiß-Bilder, worauf die ehemaligen Gebäude zu sehen sind.
Plakatprojekt für eine Haltestelle am Albertplatz.
FR Que trouvait-on dans le passé, à la place de l’actuelle „Tour des pâtes“ de la Albertplatz? Les archives de la ville conservent des photographies en noir et blanc qui dévoilent la physionomie des anciens bâtiments du site.Projet d’affiche pour une station de la Albertplatz.
DE Zwischen Realität und Fantaisie. Wer sich der Erforschung der städtebaulichen Geschichte widmet, verfängt sich in den Schichten der Zeit, die in jedem Bauwerk ruhen.
FR Entre réalité et imagination. Qui s’aventure dans l’exploration de l’histoire de la ville vera apparaître les couches du temps que les différents édifices dissimulent en eux.
DE Aus dem städtischen Raum verschwinden Gebäude der DDR-Zeit – und dabei auch eine Menge Fassadenornamente, welche eine Stilepoche darstellen. Die „Kunst am Bau“ geht parallel zu der Zerstörung der Bausubstanzen verloren.
Das Gedächtnis mit dem Memory-Spiel trainieren: was bleibt, was verschwindet?
FR Le paysage urbain est peu à peu dépouillé de son architecture de la RDA – et par la même occasion d’un grand nombre d’ornements de façades, représentatifs d’une époque. L’art associé à l’architecture disparaît ainsi, en même temps que la destruction de bâtiments.
Entraîner la mémoire avec le jeu de memory : que reste-t-il, qu’est-ce qui disparaît ?